En chirurgie dentaire : personnes et espaces

Le rôle de l’assistante dentaire

L’assistante dentaire à un rôle primordial dans les cabinets dentaires. Elle contribue directement au bon fonctionnement du cabinet. Ses missions regroupent notamment :

L’accueil des patients : elle est le premier contact du patient avec le cabinet. Il lui incombe souvent de savoir mettre en confiance le patient, lui expliquer les recommandations et devis de soins du praticien.
L’assistance au fauteuil : certaines assistantes accompagnent le chirurgien-dentiste lors de ses actes de soin au fauteuil. Il lui faut donc connaître l’instrumentation et établir une vraie relation avec son praticien afin d’assurer la continuité des traitements prodigués.
L’hygiène du cabinet : de la petite instrumentation au fauteuil, l’assistante dentaire veille à l’hygiène au sein du cabinet et a pour mission de décontaminer, nettoyer et stériliser le matériel au fil des soins.

Des règles simples, de bonnes habitudes

La bouche étant l’un des organes possédant le plus de bactéries, il est important lorsqu’on travaille en contact avec plusieurs patients par jour, de correctement se protéger, notamment avec la nébulisation.
La protection du personnel soignant se fait grâce à un équipement composé de :

Une blouse de protection
Un calot/charlotte
Une paire de lunettes

Qui peuvent être lavables, et réutilisables :

Un masque chirurgical
Des gants

Au-delà de ces équipements, il est important de s’attacher les cheveux et de se laver les mains régulièrement.

L’entretien des espaces et des surfaces

Pour assurer une bonne hygiène des surfaces de travail et des PID, Il est nécessaire avant toute chose de mettre en place une certaine méthodologie d’entretien, avant et après chaque patient :

Observer le fonctionnement du cabinet pour reconnaître les facteurs de contamination et les contrôler.
Connaître les produits d’entretien nécessaires et efficaces contre les divers risques d’Infections (VIH, Hépatites, Covid, ) et savoir gérer les stocks.
Établir et adapter les procédures d’hygiène et d’asepsie.
Communiquer en interne avec le praticien pour établir, améliorer le process d’asepsie.
Se former régulièrement sur les process et réglementations à appliquer.

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